Rapport annuel 2021

Projets

Le Réseau conduit des projets en collaboration avec ses membres et partenaires. Véritables laboratoires d’innovations cliniques, de nouvelles collaborations et de développement de nos prestations, nos projets contribuent également à la mise en œuvre de la politique de santé publique cantonale.

Les critères prioritaires sont le bénéfice pour les usagers et le système de santé, la qualité et la continuité des soins, la notion de soin juste, souhaité et en accord avec les valeurs des usagers et leurs proches. Nos projets visent à instaurer ou renforcer à différents niveaux (structurel, relation de soins) le partenariat en santé et à favoriser l’autodétermination des patients et usagers (par exemple avec le Projet de soins anticipé ou l’implantation du Plan de crise conjoint).

En cette nouvelle année touchée par la pandémie de Covid-19, nous remercions chaleureusement nos collègues et partenaires d’avoir eu la capacité à rester suffisamment intéressés et motivés pour poursuivre leur collaboration dans un mode bas régime aux projet du réseau.

 

Dossier électronique du patient (DEP)

Evolution majeure et incontournable de notre société, la mise en œuvre de la santé numérique passe par le déploiement du DEP. Depuis le 31 mai 2021, chacun peut ouvrir son dossier électronique du patient (DEP), dossier virtuel contenant un ensemble d'informations personnelles, de données et de documents relatifs à la santé. Les usagers et les professionnels de la santé qui les soignent peuvent alimenter ces informations en tout temps, en passant par une connexion Internet sécurisée. Les patients décident qui peut les consulter.

Le RSRL s’implique pour le DEP

Le Réseau santé région Lausanne (RSRL) s’implique à plusieurs niveaux de ce déploiement : il joue tout d’abord un rôle actif dans le processus d’ouverture du DEP puisque c’est au RSRL que les citoyens peuvent acquérir la clé numérique personnelle proposée par le canton de Vaud, sésame qui leur permet d’accéder au DEP en toute sécurité. Les réseaux de santé vaudois sont en effet mandatés pour certifier les identités numériques VaudID-santé, et accompagner les usagers qui en ont le plus besoin lors de l’ouverture du DEP.

Le RSRL collabore étroitement avec l’association CARA, mandatée par cinq cantons francophones pour fournir la plateforme numérique hébergeant le DEP. Nous conduisons conjointement un projet vitrine DEP@biopôle réunissant un petit groupe de pionniers – patients et professionnels de la santé – décidés à apprendre ensemble de la collaboration autour du DEP. Le RSRL y participe concrètement, puisque les infirmières de liaison animant son Bureau régional d’information et d’orientation (BRIO) vont également intégrer cet outil dans leur pratique clinique.

Ces différents volets s’inscrivent dans le projet plus large d’Opérationnalisation régionale de la stratégie de déploiement du DEP (OpDEP), une mission confiée par le canton de Vaud aux réseaux de santé vaudois.

Un projet « vitrine » pour apprendre ensemble

L’arrivée du DEP suscite de nombreuses interrogations quant aux plus-values que son utilisation peut générer. Dans ce contexte, le RSRL et CARA ont lancé ensemble le projet « vitrine » DEP@Biopôle en novembre.

Plus d’une douzaine d’organisations expérimentent l’utilisation du DEP dans un périmètre déterminé (Epalinges-Sallaz-Ours), jusqu’à l’été 2022. Parmi les participants se trouvent des représentants de certaines institutions (EMS, EPSM, CMS), mais aussi des indépendants (cabinets de groupe ou de médecine générale, pharmacies ou ostéopathe par exemple).

A l’échelle locale, cette coopération, prenant corps aussi bien entre professionnel·les impliqué·es qu’avec les patient·es, permettra d’identifier les bénéfices du partage d’information à travers le DEP. Les apprentissages tirés de cette expérience à petite échelle permettront de favoriser le bon déploiement du DEP à l’échelle cantonale, voire au-delà. Les expériences mises en évidence durant le projet sont régulièrement partagées, mises en « vitrine », dans le but de favoriser les bonnes pratiques.

Soutenir l’adoption du DEP a donc tout son sens pour le RSRL puisque l’utilisation de cet outil permettra notamment d’améliorer le travail en réseau, la qualité de la prise en charge ou encore l’efficience des soins.

Le projet de soins anticipé (ProSA)

Initié en 2017 comme un PAS du réseau vers l'autodétermination des patients, le Projet de soins anticipé ou ProSA, trouve son origine dans les besoins exprimés par les patients, leurs familles et les membres du réseau.

Grâce à un processus de discussion avec un professionnel formé et des outils de communication, le Projet de soins anticipé (ProSA) permet, précisément, d’anticiper les décisions relatives aux urgences vitales et aux incapacités de discernement.  Le processus de réflexion démarre par une discussion sur les valeurs et les représentations de la vie et de la mort, la personne est ensuite amenée, si elle le souhaite, à rédiger des Directives anticipées et à discuter de ses choix avec son entourage et plus particulièrement son représentant thérapeutique.

Clôture de la phase de tests du ProSA qui a eu lieu dans 3 milieux de soins (un CMS un EMS et le BRIO du RSRL) ; celle-ci nous a permis de mettre en évidence les conditions de démarrage et de conduite du processus ProSA, les bénéfices pour les professionnel∙le∙s et les patient∙e∙s, ainsi que les enjeux principaux en termes de temps et de financement. Les résultats de cette phase de tests ont montré combien l’expérience du ProSA s’est avérée positive à la fois pour les professionnel∙le∙s et pour les patient∙e∙s ; ils nous ont permis de formuler des recommandations et axes de développement pour la pratique du ProSA ainsi que pour son déploiement. Ces résultats ont fait l’objet de présentations orales comme au CALASS 2021 à Locarno et d’un rapport écrit : publication RSRL N. 12 

La phase de déploiement s’est poursuivie en parallèle, avec le soutien financier de Promotion Santé Suisse (Prévention dans le domaine des soins) et en étroite collaboration avec la Chaire de Soins Palliatifs Gériatriques du CHUV et la Croix-Rouge Vaudoise. Nous avons notamment pu faciliter l’accès à la formation pour les professionnel∙le∙s ainsi qu’accompagner plusieurs structures du canton de Vaud dans la mise en place du ProSA tant au niveau pratique qu’organisationnel.

L’année 2021 a été celle de la conduite de groupes de réflexion avec des patient∙es et proches partenaires et des professionnels, pour construire les outils de communication (flyer ProSA, site web, vidéo) pour faire connaître et présenter le ProSA. De plus, un e-learning a été développé, afin de compléter la formation en présentiel dès 2022.

Plus d’informations : https://www.reseau-sante-region-lausanne.ch/projet-anticipe-des-soins

Psychiatrie adulte et Plan de crise conjoint (PCC)

Dans le domaine de la santé mentale et à travers ces projets en lien avec la décision partagée, le réseau privilégie la collaboration et la concertation de ses membres et fait le lien avec les autres réseaux de santé vaudois et la filière d'hébergement de psychiatrie adulte.

Promotion et implantation efficiente du PCC (ProPCC)

Au terme de 2 ans et demi de mise en œuvre, 2021 a été l’année de la clôture du projet d’implantation du PCC suite à l’évaluation finale et à la valorisation des résultats. Conduit en collaboration avec la HEdS La Source le DP-CHUV la HEIG-VD et les réseaux de santé vaudois, ProPCC a bénéficié du soutien de projet de la Prévention dans le domaine des soins de Promotion Santé Suisse. Au vu des retombées positives du projet, un mandat de suite a été octroyé par Promotion Santé Suisse pour élargir le périmètre de l’implantation du PCC sur 2 ans dès 2022.

Le projet a produit des effets dans tous les contextes de soins et sur tous les acteurs concernés par la santé mentale, soit autant sur les professionnel∙le∙s, les usager∙ère∙s et dans une moindre mesure, leurs proches. Le plan de crise conjoint, en tant que mesure anticipée en santé mentale et outil de soutien à l’autogestion des troubles psychiques est aujourd’hui mieux connu et plus largement pratiqué dans le canton de Vaud. Divers impacts sur le système de santé ont même pu être mesurés grâce à deux travaux de master en science infirmière : les patient∙e∙s au bénéfice d’un PCC à la sortie de l’hôpital sont statistiquement moins réadmis à 30 jours que celles ou ceux qui n’en ont pas (4% versus 18%, p=.026). Les patient∙e∙s avec un PCC réadmis∙e∙s après 9 mois le sont plus souvent en volontaire contrairement aux personnes qui n’en ont pas, ces dernières étant plus souvent réadmises sous contrainte (8% versus 50%, p=.034). Bien que les stratégies de coping anticipées par les usager∙ère∙s dans leur PCC soient nombreuses, la recherche de soutien d’un∙e professionnel∙le de référence est la seule stratégie directement associée à ces résultats.

Entièrement conçu et déployé en partenariat avec pairs praticiens et proches, le projet ProPCC se termine sur un bilan positif : 7500 flyers, 250 posters, 5 publications, 4 articles de presse, 29 présentations en congrès ou lors de manifestations spécifiques et la création d’un site internet plandecriseconjoint.ch ont permis de toucher plus de 24’000 professionnels, usager∙ère∙s et proches confondu∙e∙s, avec comme effet une augmentation significative de la connaissance de l’outil (p<.001). Ces mesures ont été complétées par une formation en e-learning, suivie par 1’299 personnes, majoritairement des professionnel∙le∙s, et une formation en présentiel destinée aux 128 champions du changement issus des 21 terrains participants au processus d’implantation. Les formations ont contribué à l’augmentation de la prévalence du PCC sur le terrain (p<.004) et de l’encouragement des structures à l’utiliser (p<.003) de façon significative, de même qu’à l’augmentation de la qualité des contenus du PCC rendant ces derniers plus facilement applicables. Plus de 740 PCC ont été récoltés dans les institutions participantes. Seul le déploiement des nouvelles technologies en vue d’accroitre l’accessibilité du PCC n’a pu se réaliser en raison de la pandémie de la COVID-19, une phase test en institution étant indispensable au préalable.

Les résultats ont été présentés notamment au CALASS à Locarno ainsi que lors d’un événement de clôture à la HEdS La Source le 23 novembre.

Rapport d’évaluation complet : https://www.reseau-sante-region-lausanne.ch/system/files/rapport_devaluation_finale_propcc_0.pdf

Le projet Collaboration CMS-PGE a permis durant plusieurs années d’améliorer la continuité des soins et la collaboration entre les  institutions de soins à domicile du Grand Lausanne et le service de psychiatrie générale du CHUV (PGE). Les actions conduites visaient à promouvoir une culture d’échanges, la connaissance et le respect mutuel des rôles et à favoriser la communication entre les acteurs concernés. Ce projet a également contribué à l’implantation du PCC au sein des soins à domicile du Grand Lausanne et du service de psychiatrie générale.

La culture du lien étant bien instaurée dans les pratiques entre la PGE et les CMS du Grand Lausanne, un fonctionnement en mode projet n’a plus lieu d’être. D’un commun accord, les partenaires du projet (PGE, APREMADOL et RSRL) avons décidé de stopper à fin 2021 le financement d’un 0.2 ETP de chef-fe de projet. Les principales réalisations du projet se poursuivent maintenant sous la forme d’une collaboration établie durablement :

  • Des modalités de collaboration définies et une culture du travail en réseau.
  • La promotion de formations inter-professionnelles comme la Formation aux entretiens de réseau (co-organisée par le RSRL et HévivA), proposée dès lors d’office aux nouvelles collaboratrices et nouveaux collaborateurs.
  • L’organisation de stages inter-institutionnels d’une durée de 3 jours, dans la structure partenaire (respectivement CMS ou PGE), avec pour objectif de favoriser une culture commune et de renforcer le partenariat.

L’organisation de rencontres thématiques et ou en vue de la recherche de solutions communes, sera poursuivie en fonction des besoins et sollicitations issues des professionnels du terrain.

Plus d’informations : https://www.reseau-sante-region-lausanne.ch/psychiatrie-communautaire-adulte-0

Réponse à l’urgence

Le Canton poursuit son projet d'Optimisation de la réponse à l'urgence visant à ce que toute personne ayant un besoin de soins urgents, selon son appréciation, obtienne une réponse appropriée, en fonction de ses choix et préférences. Il implique une coordination accrue entre tous les différents acteurs participant à l’accueil et la gestion des situations d’urgence, quelle que soit leur gravité.

Ce projet vise en particulier à éviter les admissions en urgence ou les hospitalisations pour les personnes – souvent âgées – qui n’ont pas besoin du plateau technique de l’hôpital et pour lesquelles la meilleure prise en charge est généralement celle que l’on peut apporter sur le lieu de vie : à domicile ou en EMS.

Dans notre région, c’est Unisanté qui a été désigné mandataire du Canton pour la conduite de ce projet. Des représentants de chaque groupe de membres du RSRL ont été désigné par notre Comité au sein du COPIL mis en place par Unisanté, afin d’assurer une parfaite coordination entre le mandataire et le réseau.

En 2021, des réflexions et projets-test ont eu lieu sur 3 axes au sein du RSRL :

  1. Equipe infirmière dédiée à la réponse à l’urgence
  2. Lits d’accueil temporaires médicalisés (LATM)
  3. Dispositif d’orientation des urgences communautaires (DUC) en partenariat avec la CTMG

Par ailleurs Unisanté a assumé la présidence de la Commission régionale de la garde médicale pour les cercles de Lausanne et de l’Ouest lausannois en coordination avec le projet RAU.

L’année 2022 permettra de tirer un bilan des projets réalisés dans les 4 régions et de pérenniser certains d’entre eux d’une manière harmonisée dans le Canton, sous l’égide des réseaux de santé dès 2023.

Pour en savoir plus : Optimisation de la réponse à l’urgence communautaire sur le site de l’Etat de Vaud

 

Orientation READOM

READOM est un programme de réadaptation à domicile pour les personnes de plus de 65 ans résidant dans le périmètre du RSRL. Ceux-ci peuvent bénéficier d'une réadaptation dans leur environnement de vie quotidienne, par exemple suite à une intervention chirurgicale ou à un séjour hospitalier.  

Le projet Orientation READOM a été initié en 2020 à la demande de l’APROMAD , du CHUV et du RSRL . L’objectif était d’analyser et améliorer le processus d’orientation et d’identification des patient∙e∙s éligibles pour une réadaptation avec le programme READOM.

Après avoir mené une phase d’analyse et d’évaluation du processus d’orientation vers READOM en 2020, le projet s’est concentré cette année sur trois axes en se basant sur les résultats de l’état de lieux.

  1. Réflexion sur le potentiel de croissance de READOM

Le principal frein identifié par les professionnel∙le∙s dans l’orientation vers READOM est lié à un manque de places au sein de ce programme. Une étude médico-économique a donc été conduite afin d’estimer la faisabilité d’une extension du programme. Ce travail a pu, au travers d’une analyse rétrospective, analyser les flux de patient∙e∙s avec un besoin de réadaptation. Les résultats font apparaître que le nombre de patient∙e∙s qui pourraient être orienté vers READOM est bien plus élevé que ce qui est fait actuellement et permettent de conclure que la capacité du programme pourrait être augmentée.

2. Développement de supports de communication

A partir du plan de communication établi en 2020, différents supports de communication (flyer, site web) ont été développés. L’objectif de ces supports est de présenter de manière simple et visuelle le but et le déroulement de READOM afin de faciliter la présentation de ce programme aux patient∙e∙s, proches et professionnel∙le∙s.

3. Mesure de la satisfaction des clients de READOM

Afin de compléter l’état des lieux fait principalement auprès des professionnel∙le∙s, une enquête a été menée auprès de client∙e∙s de READOM au travers d’un questionnaire. 37 réponses ont été récoltées ; elles montrent une satisfaction globale très élevée (35 réponses favorables, 2 sans réponse). Les répondants soulignent le « professionnalisme » et la « gentillesse » des professionnel∙le∙s et recommanderait quasi systématiquement READOM à leur proches (34 réponses favorables, 1 indifférent, 2 sans réponse).

L’ensemble des livrables a été remis à l’APROMAD en vue de la poursuite de la réflexion sur la croissance du programme et de sa généralisation dans le Canton de Vaud.

Courts-séjours d’observation

Une collaboration avec plusieurs EMS partenaires permet d’envisager une nouvelle alternative
La décision d’orientation en long séjour est un enjeu majeur pour la personne âgée, surtout lorsqu’elle se discute en situation de crise.

Dans les situations où le projet d’orientation n’est pas complètement abouti ou demeure incertain en raison de la non-adhésion de l’usager et/ou de ses proches, de l’indication médicale, ou de la situation sociale, un temps supplémentaire à la décision est nécessaire.

Ce projet a pour objectif le développement d’une nouvelle prestation de « court-séjour d’observation », en lien avec la politique médico-sociale et l’évolution des besoins de la population dans le canton de Vaud.

Notre cadre de référence est principalement inspiré du Model de Montréal (Pomey et al., 2015) qui fonde les principes du partenariat en santé. Dans notre projet de court-séjour d’observation, nous donnons aux patient-e-s partenaires, respectivement à leurs représentant-e-s et/ou proches, ainsi qu’aux équipes de professionnel-le-s qui les accompagnent, le temps et l’espace nécessaires à la réalisation de ce partenariat.

Notre second cadre théorique, est la « Théorie de la transition », (Meleis, 2010) qui nous guide dans la mise en œuvre du court-séjour d’observation en montrant la dimension systémique et non linéaire des décisions d’orientation.

Un processus d’orientation en « court séjour d’observation » et un concept d’implantation pilote ont été définis. Une phase pilote a eu lieu sur 9 mois en 2019 et 40 personnes ont ainsi pu être accompagnées dans leur orientation.

Les résultats de la phase pilote démontrent les avantages de cette nouvelle prestation pour les patients, leur entourage, les professionnels et le système de santé.

Tout au long du développement du projet, les connaissances spécifiques de chaque participant‑e ont permis d’ajuster la trajectoire et aboutir à un résultat concret, qui bénéficie au système de santé et à ses usagers.

En résumé, ce projet a permis de répondre à nos questions de recherche de la manière suivante :

  1. Le fait d’accorder du temps à la prise de décision est adéquat dans les situations où le projet d’orientation n’est pas complètement abouti ou demeure incertain en raison de l’adhésion de l’usager et/ou de ses proches, de l’indication médicale, de la situation sociale, ou lorsque l’orientation en long séjour intervient de façon non programmée (en urgence).
  2. Le développement d’une prestation de séjour d’observation répond à ce besoin et permet de faire bénéficier les usagers d’une prise en charge adaptée.
  3. La réalisation de cet accueil dans une unité de court séjour offre un environnement favorable à l’expression et à l’évolution des compétences individuelles, qui respecte le rythme des personnes âgées.

Sur cette base, la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) a autorisé la pérennisation de la prestation Court Séjour d’Observation, dans un premier temps uniquement dans le même périmètre que celui du projet (1 seul réseau, 4 EMS participants).

Le projet a souligné sur toute sa longueur la richesse et l’importance du travail en réseau et en partenariat dans le domaine des soins.

Pour en savoir plus : Rapport de la phase pilote, RSRL (mai 2021)

Schéma CSO pour RA
Pour aller plus loin